1) Rappel : contact : cathignol@laposte.net
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Note : il n’est pas nécessaire de faire partie de ma famille pour me contacter. Je réponds à tout le monde, très volontiers. J'ai déjà eu l'occasion de le faire trois fois à ce jour (21 septembre 2018) et je remercie ici les trois personnes qui m'ont écrit pour me donner des informations généalogiques et / ou de très nombreuses photos de famille que je n’avais pas.
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Un grand merci tout particulier à mon cousin Jean Paul CHORIN qui s’est offert à travailler pour moi aux Archives Départementales d’Évreux, suite à la découverte de mon blog, alors qu’il est domicilié à plus de 50 kilomètres de ce lieu.
Il m’a trouvé et offert des photocopies de recensements à Bernay de 1856 à 1886 et des photocopies de contrats de mariage, à Bernay toujours. Documents non en ligne donc inaccessibles pour moi.
Recherches d’autant plus méritoires que, à cette époque (XIX° siècle), les familles CHORIN et CATHIGNOL n’étaient pas encore liées. Encore merci, donc.
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2) La famille CHORIN
La famille CHORIN est doublement liée à celle de mon père car mon aïeule paternelle Juliette Ernestine Alphonsine CHORIN épousa successivement mon aïeul René Dominique CATHIGNOL en 1902, puis, devenue veuve en 1909, son frère aîné Georges CATHIGNOL, en 1913.
En plus, Juliette avait une sœur, Berthe Léontine Félicie CHORIN, épouse Louis Léon Gabriel TOUZEAU, marraine de mon père, domiciliée à Rouen après son mariage, et ce fut elle qui éleva mon père après le décès prématuré de sa sœur Juliette, en 1918, aidée en cela de son époux et de Georges CATHIGNOL, oncle et beau-père de mon père.
Enfin, Berthe CHORIN, malgré son grand âge, ainsi que son fils André Paul Marie TOUZEAU (né en 1912) et son petit-fis Ivan Louis Gaston TOUZEAU (né en 1938) furent présents à l'enterrement de mon père en 1964 à Tours-02.
Je les ai connus tous trois, je les ai aimés tous trois et je ne les ai pas oubliés, bien sûr. Je n'ai du reste pas connu d'autres membres de la famille de mon père, je crois. La Haute-Normandie, c'est loin.
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Je présente donc ici cette fratrie de huit enfants, tous nés du légitime mariage de mes bisaïeuls Jules Léon Gustave CHORIN, ouvrier maçon, né à Condé-sur-Noireau dans le Calvados le 6 mars 1862, et Amélie Julia MARCHAND, ouvrière rubanière, née à Bernay le 1er février 1858.
Mariage à Bernay le jeudi 27 octobre 1881.
Décès de Jules CHORIN le 25 janvier 1909 à Bernay. À pas même 47 ans, donc. Ouvrier maçon toute sa vie.
Décès de Amélie Julia MARCHAND plus tôt, le 3 juillet 1903, à Bernay aussi, ville où elle a toujours vécu. Âgée de seulement 45 ans, donc. Très souvent rubanière ; ménagère quelquefois, dont à son décès.
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Voici donc les 8 enfants, tous nés à Bernay. 3 sont décédés en bas âge, les 5 autres se sont mariés.
— Juliette Ernestine Alphonsine CHORIN, née le 7 août 1882, mon aïeule. Mariée deux fois pour cause de veuvage.
Décédée le 13 octobre 1918 à St-Vincent-du-Boulay (Eure).
— Angèle Louise Lucie CHORIN, née le 29 juin 1884. Mariée.
Décédée le 3 février 1956 (ou 1958, mention marginale dure à lire) à St-Vincent-du-Boulay (Eure).
— Berthe Léontine Félicie CHORIN, née le 6 juillet 1886. Mariée.
Décédée à Rouen le 17 mars 1966 (donc après mon père, son filleul ; présente à son enterrement avec son fils André TOUZEAU et son petit-fils Ivan TOUZEAU).
— Jules Victor Louis CHORIN, né le 6 mars 1888.
Décédé en bas âge à Bernay le 20 octobre 1889.
— Jules André Victor, né le 2 juin 1890. Marié.
Décédé le 4 avril 1930 à Paris-14.
— Ernest Gustave Marcel, né le 7 juin 1892.
Décédé en bas âge à Bernay le 24 juillet 1892.
— Marthe Amélie Julia, née le 10 août 1893.
Décédée en bas âge à Bernay le 16 mai 1899.
— Paul Gustave Albert, né le 6 novembre 1895. Marié deux fois pour cause de veuvage.
Décédé le 21 septembre 1976 à Bois-Guillaume (Seine-Maritime).
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Détails des mariages des trois filles et deux garçons devenus adultes (j’ai des photos de tous, sauf de Jules ; voir articles suivants) :
1) Pour Juliette CHORIN, se reporter aux articles précédents. Dont postérité, par mon père, Jean Robert CATHIGNOL.
2) Angèle CHORIN épousa Paul Ernest DOUILLET, le 5 samedi décembre 1908 à Darnétal (Seine-Maritime). Dont postérité.
3) Berthe CHORIN, apprêteuse de rubans, épousa Louis Léon Gabriel TOUZEAU, comptable, né à Bernay le 8 mars 1885, le lundi 27 juin 1910 à Bernay. Dont postérité.
Louis TOUZEAU est décédé à Rouen le 19 juillet 1962. Noces d’or, donc.
Parmi les témoins de ce mariage, Paul Ernest DOUILLET, ouvrier de filature, et Georges CATHIGNOL, commis greffier, ce qui confirme ce que je savais pas d‘autres sources, à savoir que les trois sœurs CHORIN étaient restées très liées.
4) Jules "le Cadet" CHORIN épouse Clémence Berthe SAUCOURT à Rieux (Oise) le jeudi 24 mars 1921. Je ne savais rien de cette branche jusqu'en 2020, mais, grâce à la gentillesse de madame Valérie PAPIAU, que je remercie ici, j'ai pu apprendre diverses informations. Voici donc :
C'est en secondes noces que Clémence Berthe SAUCOURT a épousé Jules André Victor CHORIN. Elle était née dans les Ardennes, à Noyers-Pont-Maugis le 7 février 1892, et mourut, veuve, à Paris (14ème) le 27 octobre 1956, âgée de seulement 64 ans donc. De cette union naquirent trois enfants cousins germains de feu mon père, d'abord une fille, Madeleine CHORIN, qui épousa André NEUVECELLE, puis deux garçons, André et Maurice CHORIN, eux aussi mariés.
Donc la branche de Jules CHORIN ne s'est pas éteinte, mais il n'est pas sûr qu'elle me fournisse de nos jours des cousins portant le nom de CHORIN car, en 1956, à l'occasion des obsèques de leur mère, André et Maurice CHORIN n'avaient alors que des filles. Ceci dit, ils étaient encore jeunes et ont pu avoir eu des garçons après.
5) Paul CHORIN épousa Charlotte CHAUVEL le lundi 21 mai 1917 à Bernay. Dont un fils, Jacques, mort avant sa mère, je crois.
Paul devint veuf et épousa, en secondes noces, Marie-Louise CHAUVEL, sœur puînée de Charlotte, le mardi 19 octobre 1943 à Rouen.
Dont postérité, et, notamment, par son second mariage, Paul, gendarme, fut père de Jean Paul CHORIN, dont j’ai parlé ci-dessus, et qui se trouve donc être un cousin germain de feu mon père. Toutefois, vu qu'il est né en 1946, Jean Paul a à peu près l’âge de mes frères et de moi-même.
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3) Note : mes cousins descendant de Jean CATHIGNOL et Antoinette LENÈGRE qui souhaitent figurer dans ce blog peuvent m'écrire. Je les y ajouterai très volontiers, qu'ils se nomment CATHIGNOL ou non. J'aimerais en effet connaître tous les descendants actuels de ce couple ; donc, à vos plumes ! ^^
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4) Les Archives de l’Eure en ligne
Je suis allé voir ce que le département de l’Eure avait mis en ligne, à la disposition des internautes.
Il y a l’état civil, les NMD jusqu’en 1917 inclus, ce qui est lamentablement ridicule pour les décès, les 5 recensements quinquennaux de 1891 à 1911 (pas ceux de 1836 à 1886 L), ainsi que des "matricules militaires".
Dommage que ça n’aille pas plus loin mais il y a toujours cette fameuse loi sur la protection de la vie privée, qui enquiquine tous les généalogistes amateurs ; ajoutée aux stupides "recommandations" de la CNIL pour la diffusion en ligne.
(lire : http://fr.geneawiki.com/index.php/Confidentialit%C3%A9)
Il est vraiment stupide de penser qu'une personne décédée en 1918 sortirait de sa tombe pour s'indigner de ce que son acte de décès soit consultable en ligne ! L
Toutefois, ça m’a procuré des nouveautés que l’on trouvera notamment dans l’article XII.
Bien entendu, les nouveautés les plus importantes figurent aussi désormais dans les 8 articles (basiques) I à VIII.
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5) Les frimousses (émoticônes, smileys)
J’en connais plusieurs mais je n’en ai utilisé que deux dans ce blog.
Ce sont les deux les plus connus : le smiley souriant : J, et le smiley triste : L.
Du fait que j’écris mes textes en "Arial", ces émoticônes me posent un problème, car ils n’existent pas en Arial.
J’utilise donc, en ce cas, la police "Wingdings". Et je tape J pour avoir le smiley souriant, et L pour avoir le smiley triste.
Si vous, qui me lisez, et éventuellement imprimez mon texte, vous obtenez des J et des L isolés, vous comprendrez naturellement que mon texte originel comprenait des émoticônes que, pour une raison ou une autre, votre PC a transformées.
Ainsi, depuis que j’utilise Windows 8.1 au lieu de Windows XP, j’ai dû refaire certains de mes blogs. J’en ai même supprimé, qui étaient devenus illisibles (ceux qui avaient des diagrammes d’échecs, et pour lesquels j‘avais utilisé une police spéciale, au lieu d’insérer une image, ce qui est la bonne solution).
À noter que, pour moi, mes frimousses apparaissent normalement quand j'utilise "Internet Explorer" ou "Google Chrome" mais que j'obtiens des "J" et des "L" quand j'utilise "Mozilla Firefox". Info qui peut vous être utile.
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6) Le nombre de CATHIGNOL par génération
Le récapitulatif donne :
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A) Génération I
Un seul "CATHIGNOL" : Jean, époux Antoinette LENÈGRE, mon ancêtre éponyme, puisque ses frère et sœurs ont hérité d’une autre orthographe.
Numéro 1 de la généalogie descendante.
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B) Génération II
12 personnes : les 12 enfants de Jean et d’Antoinette LENÈGRE.
Naissances étalées de 1834 à 1855.
Numéros 2 à 13 de la généalogie descendante.
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C) Génération III
10 personnes :
— Les 7 enfants (dont seulement une fille) de mes bisaïeuls Pierre ("l'Aîné") CATHIGNOL et Maria Amélie LEROUX.
— Les 2 enfants de Jean ("le Cadet") CATHIGNOL et de Marie Rose AMIOT (une fille née sans vie, puis Georges Pierre).
— L'enfant de Pierre ("le Cadet") CATHIGNOL et de sa seconde épouse, Marthe Alphonsine LÉCAILLON : Ernest Eugène CATHIGNOL
Naissances étalées de 1856 à 1879 ; et 1906 pour le dernier cité.
Numéros 14 à 23 (sauf 22) et 31 de la généalogie descendante.
Seuls Paul, né en 1856, René Dominique, mon aïeul, né en 1879, ces deux-ci fils de Pierre "l‘Aîné", et Georges Pierre, né en 1868, fils de Jean "le Cadet", auront une descendance CATHIGNOL. À moins qu'Ernest Eugène CATHIGNOL en ait eu une aussi, ce que j'ignore.
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D) Génération IV
10 personnes :
— Les sept enfants (4 nés sans vie puis 2 filles et 1 garçon, dont Marie Désirée née en 1885, mariée) de Paul CATHIGNOL et Henriette Désirée DELAMARE. Sans postérité CATHIGNOL après 1892 (Marcel Émile dernier enfant, décédé en très bas âge).
— L’unique enfant de René Dominique CATHIGNOL et Juliette Ernestine Alphonsine CHORIN : feu mon père, Jean Robert CATHIGNOL (né en 1908).
— Les deux enfants de Georges Pierre CATHIGNOL :
a) De Clémence Eugénie HERVIEU, son épouse : un garçon né sans vie (mort-né en 1894).
b) De Hélène Marie GIRARD : Pierrette Jacqueline CATHIGNOL (née en 1923).
Naissances étalées de 1879 à 1923.
Numéros 22 à 33 (sauf 23 et 31, vus paragraphe précédent) de la généalogie descendante.
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E) Génération V
Il ne reste plus qu’une seule branche, celle de mon père.
— Pas d’enfant de sa première épouse, Olga R***, dite Olga RODINSON.
— Six enfants, de sa seconde épouse, ma mère, Anne-Marie Andrée Charlotte Julia WALTER.
Naissances étalées de 1939 à 1951.
Numéros 34 à 39 de la généalogie descendante.
Note : selon la marraine de mon frère Roland, il y eut 7 enfants. Mais je n’ai aucun document pour confirmer cette assertion. Et je n’ai pas pu la questionner à l’époque où elle m’a dit cela.
Je sais seulement qu’il y a une demi-page coupée dans le livret de famille après la naissance de Jean-François (1951).
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F) Génération VI
J’ai quatre neveux et trois nièces nés CATHIGNOL, de 1962 à 1979.
Numéros 40 à 46 de la généalogie descendante.
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G) Génération VII
J’ai quatre petits-neveux et quatre petites-nièces nés CATHIGNOL, de 1994 à 2018.
Numéros 47 à 54 de la généalogie descendante.
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H) Conclusion
Le nom CATHIGNOL ne s’est pas éteint et ne semble pas en voie de disparition, malgré le petit nombre de CATHIGNOL à chaque génération.
Actuellement :
1 + 12 + 10 + 10 + 6+ 7 + 8 = 54
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7) Lacunes à ce jour dans ma généalogie des CATHIGNOL
J’en ai encore beaucoup, malgré la mise en ligne de l’état civil et des recensements du département de l’Eure.
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A) Génération I
Comme je l’ai déjà écrit à plusieurs reprises, il me manque l’acte de naissance de Jean CATHIGNOL éponyme, que l’on peut situer à Condat (Cantal), environ deux ou trois ans après son frère, autre Jean, né le 20 avril 1801. Le milieu de l'année 1804 est le plus plausible.
Il est possible que cet acte ait disparu, comme je l’ai déjà expliqué. Mais il est aussi possible que notre ancêtre n’ait pas été déclaré en mairie. La période était révolutionnaire et ce n’était pas agréable d’aller faire 6 km à pied pour atteindre le bourg d’Égliseneuve-d’Entraigues ou celui de Condat.
Par ailleurs, quel intérêt à déclarer un fils, obligé par la suite de servir dans l'armée ?
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B) Génération II
Il me manque plusieurs d’actes.
1) Je ne sais pas où décédée Adèle Virginie BUNEL, épouse puis veuve Léger CATHIGNOL, décédé pour sa part le 28 mai 1902 à Bournainville (Eure).
2) Je ne sais pas où ni quand est décédé Jean Marie CATHIGNOL, 10ème enfant sur 12, né le 18 juin 1848 à Bernay.
Il a dû décéder enfant, n’étant pas présent au recensement de 1861 à Bernay. Or la place d’un enfant de 13 ans, c’est chez ses parents.
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C) Génération III
Il me manque plusieurs actes.
Pour certains, c'est assez normal dans la mesure où les décès eurent lieu au XX° siècle, dans les documents inaccessibles.
1) Je n’ai pas l’acte de décès de Henriette Désirée DELAMARE, veuve Paul CATHIGNOL décédé en 1900 à Bernay. Née en 1855, elle vivait seule à Menneval en 1923. Peut-être décédée le 24 novembre 1927 (source inconnue) à Bernay ou Menneval. Il faudrait que j’écrive de nouveau à Bernay ou à Menneval pour être sûr.
2) Je n'ai pas non plus le décès de Pierre Adolphe HULBERT, veuf en 1905 de Marie CATHIGNOL, 5ème enfant sur 7 de mon bisaïeul Pierre et de Maria Amélie LEROUX, née le 13 février 1867 à Bernay, y mariée en 1885.
3) Je ne sais ni où ni quand est née et décédée Hélène Marie GIRARD, compagne en 1922 et 1923 de Georges Pierre CATHIGNOL et mère de Pierrette Jacqueline CATHIGNOL, née à Broglie le 13 mai 1923.
4) Je n'ai pas l'acte de décès de Ernest Eugène CATHIGNOL, ni même son acte de mariage s'il s'est marié. Pour rappel il est né le 17 avril 1906 à Paris 18ème, fils de Pierre "Le Cadet" CATHIGNOL et de sa seconde épouse Marthe Alphonsine LÉCAILLON.
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Rappel : contact : cathignol@laposte.net
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Édition du mercredi 15 avril 2020 à 12h47